•   Le sureau en cuisine
    sureau
    Le sureau est aussi appelé "la vanille du pauvre" tant son arôme est délicat et persistant.
    sureau
    Avec les fleurs de sureau, nous pouvons réaliser de la gelée, du sirop et du vin de Sureau, du vinaigre de Sureau… Quant aux petites baies noires elles servent également à réaliser de succulentes gelées.

    Quelques recettes gourmandes

    Vin de fleurs de Sureau
    Ingrédients (pour 1 l de vin)

    sureau
    une quinzaine d’ombelles de sureau sureau
    1 l de vin blanc sec (pas de la piquette)
    25 cl d’eau-de-vie de fruits
    200 g de sucre
    Préparation
    Nettoyez les fleurs de Sureau en les secouant pour faire partir les petits insectes qui pourraient s’y trouver.
    Détachez chaque fleur de la tige ou enlever chaque fleur avec vos doigts.
    Mettez les fleurs avec le vin dans un bocal et laissez-les macérer pendant 3 jours dans un endroit frais en les mélangeant régulièrement.
    Filtrez et essorez les fleurs avec les mains pour en extraire le jus.
    Ajoutez le sucre et l’eau-de-vie.
    Bien mélanger et puis mettez en bouteille.
    Conservez ce vin de sureau dans un endroit frais dans une cave et à l’abri de la lumière au moins 6 mois avant de le déguster bien frais.
    Sirop de fleurs de Sureau
    Ingrédients (pour 1 l de vin)

    sureau
    1 l d’eau bouillante sureau
    20 ombelles (fleurs de sureau, de taille moyenne)
    1 citron
    750 g de sucre en poudre
    Préparation
    Nettoyez les fleurs de Sureau en les secouant pour faire partir les petits insectes qui pourraient s’y trouver.
    Détachez chaque fleur de la tige et mettez-les dans un grand saladier.
    Faites bouillir l’eau et versez-la sur les fleurs.
    Ajoutez le jus de citron et laissez macérer à température ambiante en remuant de temps en temps pendant trois jours.
    Filtrez, ajoutez le sucre au mélange et portez à ébullition et maintenir à petits bouillons 2 à 5 minutes.
    Laissez refroidir.
    Portez de nouveau à ébullition et versez dans des bouteilles à l’aide d’un entonnoir.
    Ce sirop de sureau pourra servir pour réaliser un granité par exemple, sucrer des fraises, aromatiser un verre de champagne, etc.
    Gelée de fleurs de Sureau
    Une gelée à la saveur parfumée et délicate qui rappelle étrangement le litchi, ce petit fruit exotique si parfumé.
    Prendre des fleurs fraîchement cueillies et à maturité.
    Ingrédients  

    sureau
    150 g de fleurs de Sureau sureau
    1,5 l d’eau
    1 kg de sucre
    1 jus de citron
    5 g d’agar-agar
    Préparation
    Égrainez les fleurs de Sureau dans un saladier en enlevant les tiges.
    Recouvrez d’eau bouillante et couvrez le saladier avec du film alimentaire.
    Réservez pendant 3 jours.
    Filtrez ensuite au travers d’une passoire fine, ajoutez le jus de citron.
    Versez le tout dans un faitout.
    Ajoutez le sucre et l’agar-agar et porter à ébullition pendant 5 à 7 minutes.
    Écumez et versez dans des pots stérilisés.
    Fermez les pots et retournez-les.

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  •   Le sureau, les vertus médicinales, "une pharmacie de campagne"
    sureau
    Tout est utilisable dans le sureau.
    sureau
    Les Fleurs et leurs actions
    sureauLes fleurs de sureau noir sont sans doute la partie la plus intéressante de la plante, tant pour leurs propriétés médicinales et culinaires que pour leur parfum délicat. Elles peuvent être utilisées en application externe ou interne (tisanes ou sirop).
    Les fleurs de sureau sont riches en flavonoïdes, acides phénoliques, huiles essentielles et minéraux. Les effets du sureau sont nombreux.
    sureau
    Action sudorifique
    Les fleurs de sureau, qu’elles soient fraîches ou séchées, dégagent un parfum délicat. En tisane elles ont une action sudorifique  et permettent de lutter efficacement contre les rhumes, les grippes, et éliminent les toxines en cas de fièvre.
    sureau
    Action antivirale
    Avec la présence élevée de polyphénols, le sureau a de grandes propriétés antivirales pouvant aider à diminuer les symptômes liés au virus de l’influenza A de type H1N1. Il devient un choix naturel à consommer dès les premiers signes du nez qui coule ou du mal de gorge. Son action est d’autant plus efficace si le remède est pris dès les premiers stades de la maladie, à petites doses répétées plusieurs fois par jour.
    sureau
    Action mucolytique
    Le complexe aromatique des huiles essentielles que l’on retrouve dans les fleurs de Sureau présente des propriétés mucolytique qui permet de réguler la sécrétion du mucus lors de trop fortes sécrétions. La propriété astringeante combinée à l’effet circulatoire et décongestionnant du sureau en fait une plante de choix pour dégager les voies respiratoires, spécialement l’O.R.L. (gorge, bouche, nez, oreilles).
    sureau
    Action diurétique
    sureauFavorise la sécrétions de l’urine et soutient le travail des reins, bénéfique en cas d’œdème et de rétention d’eau. Le sureau est riche en potassium ce qui en fait un diurétique sécuritaire à long terme. Il prévient de plus calculs rénaux.
    sureau
    Cette action diurétiques permet également d’éliminer plus de toxines. On le recommandera pour les problèmes de peau avec bleuissement, humidité et enflure, dans le cas d’ulcère suppuratif ou d’eczéma formant des pustules.
    sureau
    Action émolliente
    On peut les utiliser en compresses imbibées d’infusion pour faire mûrir les abcès et les panaris.
    sureau
    Action astringeante
    La fleur de sureau est riche en tannins qui resserrent les tissus. On utilisera une compresse d’infusion de fleurs de sureau sur des petites brûlures ou sur des inflammations ou bien lorsqu’on a des démangeaisons aux yeux. L’eau de fleurs de sureau fait un bon collyre pour les yeux fatigués et les conjonctivites. L’onguent à base de fleurs de sureau est un bon remède contre les verrues.
    sureau
    Action antihistaminique
    La quercétine présente dans le sureau est un composant antihistaminique, ce qui diminue l’intensité des réactions allergiques.
    sureau
    Action anti-inflammatoire
    On lui reconnaît également grâce à la rutine qu’il contient des propriétés anti-inflammatoires.
    Une infusion de fleurs de sureau dans un bain ou en onguent soulagera des hémorroïdes.

    Le sureau Applications et posologie Tisane
    • Versez une grande tasse d’eau bouillante sur 2 cuillères à café de fleurs séchées.
    • Couvrir, et laissez infuser 10 minutes.
    • Boire aussi chaud que possible.
    • Prenez 2 à 3 tasses de cette tisane en cas de rhume, de refroidissement, de toux,
    de bronchite, de grippe, ou pour faire baisser la fièvre.
    • Cette infusion peut également aider à lutter contre le rhume des foins.
    • En boire 2 à 3 tasses par jour avant et pendant la saison des pollens.

      Vous pouvez également utiliser cette tisane pour :
      L’infusion de sureau augmente légèrement la transpiration, donc l’élimination des toxines. Cette qualité en fait donc aussi une excellente alliée pour soulager l’arthrite et la goutte.
    Pour la goutte, en plus de boire une infusion de fleurs et de feuilles de sureau, essayez la compresse comme détaillée ainsi : mettez une poignée de gros sel, 2 poignées de fleurs de sureau et 2 de fleurs de camomille dans un demi-litre de vinaigre de vin. Faire bouillir le tout 15 minutes. Trempez ensuite des compresses que vous appliquerez, bien imbibées, sur la partie douloureuse.
    sureau
      Très dépurative, l’infusion de fleurs de sureau vous aidera à nettoyer le foie. Dans ce cas, buvez-en 3 tasses par jour, dont une le matin, à jeun.
    sureau
    Pour les hémorroïdes, trempez des compresses dans une infusion de fleurs de sureau, et appliquez-les localement. Répétez chaque jour, jusqu’à la guérison.
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  • Comment reconnaître un pervers narcissique ?

    Dominer l’autre et l’utiliser pour arriver à ses fins Toutes les formes de perversion se manifestent par des abus. L'emprise est un abus de pouvoir et, avant tout une captation de la pensée de l'autre, une confiscation de son intelligence. Comme un guerrier, le prédateur part à la conquête du territoire de l'autre. Petit à petit, il grignote son espace, l'empiète pour finalement l'envahir totalement. Il est le maître d'un monde fictif, inaccessible à l'échange, à l'écoute, et à la remis en question. Comme le renard des contes populaires, il est un "illusionniste" rusé. Il use et abuse d'armes subtiles. Il a recours à toutes sortes de ficelle : l'esquive, la séduction ou l'intimidation. Pour ne pas dévoiler ses intentions réelles, il utilise la manipulation. En public, il virevolte passant d'un masque à un autre. Il peut être Zorro ou un bon père de famille; un merveilleux docteur ou un brillant chef d'entreprise. Elle peut être la reine des amazones, une épouse modèle, mère irréprochable, une amie. Héros ou antihéros selon son auditoire, le renard (homme ou femme) n'a qu'un bu : captiver et attirer sa proie dans ses filets. L'illusioniste embobine son entourage, l'endort à coups de bons mots ou d'apparents "bons sentiments". Son charisme favorise les confidences qu'il peut ensuite utiliser pour empiéter sur le territoire de l'autre.

    Mais s'il écoute parler les autres; lui-même ne se confie à personne et s'arrange pour ne répondre à aucune question personnelle. Pas question d'enlever son masque ou de risquer de sortir de sa cachette. C'est un excellent acteur, il a plusieurs visages et plusieurs scénarios à sa disposition. Virtuose des tours de passe, on ne sait ni à qui on a à faire, ni où il est, ni ce qu'il veut. S'il se sent approché, il n'a plus qu'à utiliser une de ses pirouettes pour faire une retraite tout en élégance : un trait d'humour désarmant, ou au contraire décapant, qui masque une attaque en règle. Enfants, Caroline et Julien vivaient les repas familiaux du soir comme un supplice. Ils étaient dans l'attente que l'insupportable tension qui y régnait trouve un exutoire. Si leur père trouvait une cible en dehors de la sphère familiale, sur laquelle il se défoulait avec son prétendu sens de l'humour et des propos corrosifs, la soirée pouvait être "sauvée"! Dans un couple, bien souvent, lorsque l'un est pervers de façon active, l'autre, en miroir, va l'être de façons passive. L'un est un dominant tyrannique, l'autre un dominé qui prend l'habitude de se soumettre. Ainsi Pauline participe activement à la mise en scène des rituels familiaux chaque soir et y enrôle ses enfants. Son objectif est de détourner l'attention de son mari ; mais, ce faisant, elle ne remet pas en cause ses outrances. A cela s'ajoutent les effets pernicieux de l'emprise à long terme : celui qui est vampirisé est tellement dévitalisé qu'il n'a plus la force de combattre la perversion omniprésente de son conjoint. Les mécanismes de l’emprise : fascination, séduction, vampirisme.

     

     La rencontre avec une personne qui fonctionne dans le registre de la perversion est souvent vécue comme un véritable signe du destin, une évidence. L’évidence est le leurre de l’accroche perverse. Bien évidemment, il s’agit d’évidences trompeuses ! Le prédateur déploie une véritable propagande afin de séduire sa proie. Qu’il s’agisse d’une rencontre amoureuse, d’une relation amicale ou de travail, la démarche sera la même. Le séducteur fabrique une symbiose artificielle et provoquée : l’autre est soi ; l’autre est à soi. Au début de la rencontre, il pare sa proie d’atouts merveilleux : il s’agit de la flatter pour la conquérir. Couverte d’attentions et d’éloges, sa proie se sent portée aux nues, « comme sur un nuage ». À son insu, elle baisse la garde et renonce à toute vigilance : le séducteur devient irrésistible. Sa force de persuasion devient telle qu’il peut construire une mystification autour de leur rencontre jusqu’à faire croire que c’est un signe du destin : « Il n’y a pas de hasard » ! Ainsi sa proie est convaincue que cet être répond comme miraculeusement à toutes ses attentes, à ses manques, à ses blessures, qu’il peut tout entendre, tout comprendre. C’est comme s’ils s’étaient « toujours connus ».

     

     


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  •  03/05/2013 

    Marmite norvégienne : cuisinez un bœuf bourguignon dans du carton

    Marie-Anne Daye | JournalisteRue 89
     

    La marmitte norvégienne de Marie Girard à Sainte-Gemmes-le-Robert, le 3 mai 2013 (Armèle Cloteau)

    Une boîte en carton gît sur le sol de la cuisine de Marie Girard. Est-elle destinée au recyclage ? Non. Mais à quoi sert-elle ? La quinquagénaire précise qu’il s’agit d’une marmite norvégienne, aussi appelée cuiseur thermique, un outil servant à cuire les aliments sans nouvelle dépense d’énergie, après les avoir chauffés sur le feu quelques minutes. Cet outil de cuisson est revenu à la mode, surtout parmi les écolos.

    Marie Girard fait partie de ceux qui ont une conscience écologique aiguisée. Elle et son mari exploitent une fermette nommée L’Ermitage à Sainte-Gemmes-le-Robert près de Laval (Mayenne).

    Ils essaient de tendre le plus possible vers l’autosubsistance en vendant une partie de ce qu’ils produisent, soit de la viande de veau, du jus de pommes, de la tisane (Marie donne aussi des cours sur la connaissance des plantes) et tiennent un gîte à quelques mètres de leur maison construite au XVe siècle. Le reste sert à leur consommation personnelle et à échanger avec les voisins.

    Dans tous leurs gestes, ils tentent de respecter le plus possible l’environnement. C’est pourquoi ils limitent au maximum leurs dépenses énergétiques.

    Découverte miraculeuse

    Il y a quelques années, Marie Girard a découvert la marmite norvégienne. Elle avait demandé à sa fille de lui en fabriquer une, mais finalement c’est sa voisine qui la lui a offerte pour son anniversaire. N’y portant pas trop d’attention, la marmite est allée au placard.

    L’été dernier, la marmite a repris vie. Lors d’un stage à l’association Bolivia Inti, sa propriétaire a appris différentes techniques pour cuire les aliments sans énergie dont la cuisson solaire et la cuisson thermique à l’aide de la marmite norvégienne :

    « J’étais tellement émerveillée de constater que les aliments cuisaient par laisser-faire, c’était magique. »

    Du carton et une matière isolante

    La marmite norvégienne est simple à fabriquer. Un carton d’emballage placé dans un autre plus grand, dont l’espace entre les deux (5 à 10 cm) est comblé par une matière isolante, soit du papier froissé et tassé, du lainage ou du polystyrène comme l’a fait Marie Girard ;

    « Pour que la marmite soit vraiment écologique, il vaut mieux utiliser la laine de mouton. »

    Afin d’optimiser les performances, il est possible d’installer un réfléchissant comme un pare-soleil découpé sur les parois du carton intérieur. Ensuite, il s’agit de placer la casserole bien fermée à l’intérieur et de la couvrir à l’aide d’une serviette ou d’un coussin. Il faut auparavant avoir mis la casserole à chauffer de manière plus traditionnelle quelques minutes selon le type d’aliment.


    Infographie montrant la fabrication d’une marmitte norvégienne (Mathieu Savard)

    Il existe aussi des techniques plus sophistiquées. Par exemple fabriquer une caisse en bois sur roulettes ou aménager un tiroir profond pour éviter la perte d’espace.

    Une fois la marmite norvégienne construite, on peut y déposer la casserole. La chaleur emmagasinée lors de la première étape de cuisson (sur le feu) sera conservée.

    Par exemple, un dimanche après-midi, vous voulez concocter un bœuf bourguignon ; vous le faites bouillir cinq minutes sur le feu puis vous placez la casserole dans la marmite norvégienne pendant environ deux heures trente, soit une demi-heure de plus que la cuisson classique. Avec une économie d’énergie de 75% [PDF], selon l’association Les Amis de la Terre !

    Au moins 50% d’économie d’énergie

    L’isolation permet de ralentir la baisse de température par trois modes de transmission de chaleur :

    • la conduction (l’isolation des parois) ;
    • la convection (fermeture hermétique) ;
    • le rayonnement (réflecteur infrarouge du réfléchissant).

    En général, l’économie d’énergie est d’au moins 50% pour chaque plat cuisiné.

    Marie Girard évoque également le côté pratique de la marmite :

    « On n’a pas besoin de surveiller la cuisson, ça ne déborde pas et ça ne tache pas. »

    Pour cuire du riz avec la marmite, c’est fantastique selon elle :

    « On le porte à ébullition avec la quantité d’eau exacte et la marmite fait le reste du travail. »

    La marmite norvégienne a quelques points négatifs tout de même :

    • d’une part, elle occupe de l’espace. Une boîte en carton au milieu de la cuisine n’est pas très esthétique. Mais avec un peu d’imagination, on peut y ajouter de la couleur. Marie Girard propose même de l’intégrer dans un pouf. En plus d’être discrète, elle garde les fesses au chaud durant les jours d’hiver ;
    • d’autre part, elle a ses limites d’efficacité. « Si je pars trop longtemps, le contenu n’est plus assez chaud », explique Marie.

    Un outil pour les temps durs

    La marmite norvégienne tire ses origines dans les cuisines scandinaves vers la fin du XIXe siècle (le premier détenteur du brevet est un Norvégien) et servait au prolongement passif de la cuisson et à économiser de l’énergie. A l’époque, cet auxiliaire de cuisson était composé « d’une marmite en fer battu étamé destinée à recevoir les aliments, et d’une boîte isolatrice empêchant la déperdition de la chaleur. »

    Elle fut éclipsée par le thermos au XXe siècle et a donc perdu de sa popularité. Par la suite, on l’a associée aux périodes de guerre et de restrictions, et même assimilée à une pratique de radin. Aujourd’hui, tous les moyens sont bons pour économiser de l’énergie dans le contexte d’épuisement des ressources.

    Bon pour l’environnement et le portefeuille

    Selon l’Insee, en 2006, les dépenses des ménages en énergie domestique représentaient environ 590 euros par habitant. Près de la moitié de cette énergie provient de l’électricité et près du quart en gaz naturel. Pour un ménage avec plusieurs enfants, une diminution considérable de l’utilisation de la cuisinière peut réduire la facture d’énergie.

    Par-dessus tout, la marmite norvégienne est un pas, petit ou grand selon son utilisation, vers la diminution de CO2. L’organisation Les Amis de la Terre a d’ailleurs lancé l’objectif « négawatts » qui vise à réduire de 50% la consommation énergétique familiale. Diverses organisations comme Bolivia Inti et la Féeda (Formation et éducation à l’environnement et au développement approprié) encouragent la cuisson écologique en offrant de la formation, notamment dans des pays d’Amérique latine et d’Afrique.

    Chers riverains, si vous tentez l’expérience de la marmite norvégienne ce week-end, racontez-nous en commentaire !

     P.S.: Vous ne le savez pas mais vous avez une marmite norvégienne chez vous!

     Il s'agit tout simplement de votre glacière! Si elle conserve le froid elle peut aussi conserver la chaleur.Vous enveloppez votre cocotte bien fermée dans une vieille couette (par ex.) et vous la mettez dans la glacière que vous fermez bien. Je pratique ainsi depuis quelques mois. On peut aussi utiliser le four (froid!), il est hermétique. Enveloppez bien la cocotte; si vous avez peur que de la vapeur s'échappe et mouille la couette, enveloppez d'abord la cocotte dans une couverture de survie, et le tour est joué. On peut aussi utiliser le lit: posez la cocotte enveloppée comme dit sur le matelas et entourez-la bien avec les couvertures et les couettes. Toutes ces idées ont été trouvées sur internet.

     Bonne cuisson!


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  • L' Eau de Hongrie est aujourd'hui un parfum et beaucoup la considère comme le tout premier parfum de l'époque moderne.

     

    À l'origine c'était un alcoolat de romarin créé en 1370 pour Élisabeth de Pologne, reine de Hongrie, épouse du roi Charles Robert de Hongrie.

    FLEUR-BLANCHE-BELLE.jpg L' histoire dit que cette eau merveilleuse fut offerte à la Reine par un moine qui cherchait à lui soulager ses rhumatismes. La reine l’utilisa tout au long de sa vie. La légende raconte que cette eau précieuse l’aida à conserver sa beauté  mais aussi sa santé et que c’est grâce à elle qu’elle fut demandée en mariage par le Prince de Pologne, alors qu’elle était âgée de 72 ans.
    Et l’histoire légendaire de poursuivre en ajoutant que Louis 1er le Grand (le même donc) voulait rattacher la Pologne à son royaume de Hongrie. Et qu’il fut tellement charmé par la fragrance que portait la reine de Hongrie qu’il décida de céder sa couronne à une dynastie si raffinée.

    Ah, les légendes comme elles nous font voir la vie belle... Même si souvent elles sont incorrectes. La confusion est sans doute due au fait que lorsque son fils, Louis de Hongrie devint roi de Pologne, il nomma sa mère régente de Pologne.

    Laissons-là l’Histoire et ses légendes et revenons à notre Elixir qui, soulignons-le, joue tout-de-même ici un rôle…essentiel. C’est dire l’importance de cette Eau de Hongrie puisqu’elle était utilisée à la Cour du roi Charles V dès le XIVe siècle. Elle l’est encore au XVIIe siècle à la Cour du roi Louis XIV et fut le parfum de Mme de Sévigné, de sa fille Mme de Grignan et de Mme de Maintenon qui la conseillait à ses pensionnaires de Saint-Cyr.

    Chez les grands de ce monde, l’eau de la reine de Hongrie fut en vogue jusqu’au règne de Napoléon Ier, moment où elle fut supplantée par l’eau de Cologne.

    C’est qu’on lui attribuait de nombreuses vertus : pouvoirs revitalisants et thérapeutiques (rhumatismes, palpitations cardiaques, obstruction du foie, jaunisse, bourdonnements d’oreilles ou douleurs abdominales, aujourd'hui démontrées scientifiquement).

     

    Sa fragrance était originellement à base de romarin macéré dans de l’esprit de vin mais elle fut enrichie plus tard avec de l’essence de lavande, de la bergamote, du jasmin, du cirse et de l’ambre.

    Aujourd’hui, cette eau merveilleuse revient à nous eau-de-la-reine-de-hongrie et la parfumerie Fragonard à Grasse commercialise une excellente ‘’ Eau de Hongrie’’, enrichie d’essences de lavande, de bergamote, de jasmin, de cirse et d’ambre. Parfumerie FRAGONARD  

     

    EAU HONGRIE Une recette de l'Eau de Hongrie à faire soi-même

    Il existe de nombreuses variantes de cette fameuse Eau.

    En voici une :

    - Remplir une bouteille de verre de feuilles de

    sauge, marjolaine, lavande (ces 3 plantes compteront ½ part)

    et romarin (c'est l'ingrédient essentiel qui comptera 1 part)

    et ajouter de l'eau-de-vie.

    - Boucher et exposer au soleil pendant une semaine.

    Vous pouvez dès lors utiliser cette eau en frictions, après le bain, par exemple.


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  •  

     22/04/2013   Ne gaspillez pas l'eau de cuisson, réutilisez-la ! 

      Après avoir terminé de cuisiner, nous jetons par réflexe l'eau qui a servi a la cuisson. Pourtant, récupérer l'eau des pates et des legumes est d'une utilité indéniable pour entretenir le jardin et la maison de façon économique et écologique. Voici quelques astuces de grand-mere pour reléguer cette vieille habitude aux oubliettes.augmenter la taille du texte  

    Ne gaspillez pas l'eau de cuisson, réutilisez-la !                                                                                photo : fotolia

    Lorsque nous cuisinons, nous avons besoin d'utiliser une grande quantité d'eau qui sera finalement jetée, car elle est, croit-on, d'aucune utilité. Pourtant, cette eau peut tout à fait être recyclée pour un usage différent.

    La première astuce consiste a récupérer l'eau de cuisson des légumes verts pour arroser ses plantes. Riche en vitamines, en nutriments et en oligo-éléments libérés par les légumes (haricots verts par exemple), l'eau revigorera les plantes les plus fatiguées. C'est comme si vous leur donniez de l'engrais naturel. Evidemment, l'eau ne doit pas etre salée, au risque d'endommager la plante.

       L'eau bouillie des pates ou des oeufs comporte un autre avantage non négligeable en cuisine: pour nettoyer une plaque de gazinière en émail ou un lavabo. Plutot que d'utiliser des produits chimiques, abrasifs et corrosifs, pour nettoyer les saletés, pensez donc à l'eau de cuisson. Pour cela, mettre directement l'eau encore chaude sur les taches, mêmes incrustées, et laisser pendant une dizaine de minutes. Puis, frottez avec un grattoir : les saletés partiront toutes seules. Rien de plus économique!

    Attention néanmoins : achetez plutot des légumes issus de l'agriculture biologique. Les légumes industriels sont bourrés de pesticides qui pourraient avoir un effet néfaste sur votre santé et celle de vos plantes. Un dernier conseil, n'oubliez pas de stocker l'eau de cuisson non-utilisée dans des bouteilles en plastique, au réfrigérateur, pour ne vraiment rien gaspiller!


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  •   -Une cuillérée à soupe d'argile (verte ou blanche)

      -Une cuillérée à café d'huile d'olive
      -Un jaune d'oeuf
      -5 gouttes essentielles de lavande ou lavandin
      -5 gouttes de rose ou de bois de  rose
    Compléter avec de l'eau de rose, pour créer une pate que l'on va garder pendant 15 minutes sur le visage

     

    En cas de bouton, on peut le faire plusieurs jours d'affilée
    Sinon à faire une fois par semaine

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  •   Apprécié depuis des lustres, le thé est la deuxième boisson la plus consommée au monde après l’eau. Tel quel, le thé est très peu calorique. Il renferme une foule de principes actifs, dont des antioxydants, qui ont attiré l’attention des scientifiques.

    Il existe de nombreuses variétés de thés et différents modes de transformation (thés fermentés, semi-fermentés, fumés, etc.). La présente fiche portera principalement sur le thé vert, qui est un thé non fermenté, et le thé noir, dont les feuilles ont subi plusieurs processus de transformation.

    Principes actifs et propriétés

    Antioxydants. Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement1.

    Le thé contient plusieurs polyphénols, une vaste famille d’antioxydants dont les trois principaux sont les catéchines, les théaflavines et les théarubigines. La teneur en polyphénols du thé peut varier en fonction de plusieurs facteurs2 comme le climat, la saison, la variété de thé, sa fraîcheur et le temps d’infusion3. En général, le thé vert aurait une plus grande activité antioxydante que le thé noir4. Selon une revue de la littérature scientifique, chez l’humain, la consommation de 300 ml et plus de thé vert entraîne dans les heures suivantes une augmentation significative de l’activité antioxydante du sang5.

    • Catéchines. Les catéchines sont les antioxydants du thé qui font l’objet du plus grand nombre d’études. Le thé vert est celui qui en contient le plus. Le thé noir en renferme également, mais les procédés qu’il subit transforment une partie des catéchines en théaflavines et en théarubigines3. De plus, l’ajout de lait au thé noir diminuerait quelque peu l’absorption des catéchines. Mais, cela ne nuirait pas nécessairement à l’activité antioxydante globale de ce thé dans l’organisme, estiment les chercheurs6.
    • Autres polyphénols. Qu’il soit vert ou noir, le thé est également considéré comme une source d’autres polyphénols comme la quercétine et le kaempferol8. Ces composés du thé, appartenant à la famille des flavonols, apporteraient aussi des effets bénéfiques sur la prévention des maladies cardiovasculaires8,9 et du cancer8.

    Infuser son thé pour en tirer le maximum de bienfaits

    La température et le temps d’infusion influencent le contenu en antioxydants du thé que l’on boit. Pour en tirer le maximum de bienfaits, on doit infuser le thé vert ou le thé noir en feuilles au moins 2 minutes à 90°C. Plus le thé vert est infusé longtemps, plus son pouvoir antioxydant est grand. C’est du moins ce qui ressort d’une étude dont l’objectif était de mesurer le pouvoir antioxydant de thés préparés selon les méthodes les plus couramment utilisées. L’auteur de l’étude mentionne aussi qu’il est préférable de boire le thé noir sans lait puisque celui-ci, particulièrement lorsqu’il n’est pas écrémé, diminue le pouvoir antioxydant du thé35. Le thé vert contient environ deux fois plus d’antioxydants que le thé noir.

    La principale catéchine du thé vert est appelée EGCG (épigallocatéchine gallate)2. L’EGCG est considérée comme l’une des principales substances contribuant aux bienfaits du thé sur la santé. Les thés verts japonais en contiendraient davantage que les thés verts chinois7.

    Notes

    1. Willcox JK, Ash SL, Catignani GL. Antioxidants and prevention of chronic disease. Crit Rev Food Sci Nutr 2004;44(4):275-95.
    2. Ho CT, Chen CW, et al. Natural Antioxidants from Tea. In: Shahidi F, editor. Natural Antioxidants - Chemistry, Health Effects, and Applications.Champaign: AOCS Press; 1997. p. 213-23.
    3. Lakenbrink C, Lapczynski S, et al. Flavonoids and other polyphenols in consumer brews of tea and other caffeinated beverages. J Agric Food Chem 2000 July;48(7):2848-52.
    4. Henning SM, Fajardo-Lira C, et al. Catechin content of 18 teas and a green tea extract supplement correlates with the antioxidant capacity. Nutr Cancer 2003;45(2):226-35.
    5. Cooper R, Morre DJ, Morre DM. Medicinal benefits of green tea: part II. review of anticancer properties. J Altern Complement Med 2005 August;11(4):639-52.
    6. Reddy VC, Vidya Sagar GV, et al. Addition of milk does not alter the antioxidant activity of black tea. Ann Nutr Metab 2005 May;49(3):189-95.
    7. Béliveau R., Gingras D. Les aliments contre le cancer. Outremont: Éditions du Trécarré, Quebecor Media; 2005.


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  •   Les ingrédients pour une lotion spécial frigo :

      -2 cuillères à soupe de bicarbonate,

      -le jus d'un demi citron,

      -5 gouttes d'huile essentielle de citron.

    La recette :

      -remplissez à moitié un bol d'eau tiède,

      -ajoutez le bicarbonate de soude

      - diluez.

      -Versez le jus de citron avec les huiles essentielles

      - mélangez.


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  • Le quinoa sera probablement la star de 2013, puisqu’une année internationale lui a été dédiée par les Nations unies. Cet évènement vise à promouvoir cette plante robuste aux vertus nutritives importantes, mais aussi à mettre à l'honneur les peuples indigènes andins qui l’exploitent depuis 7.000 ans. Son rôle potentiel dans la lutte contre la malnutrition et la faim est également mis en avant.

    Les Nations unies ont choisi pour cette année 2013 de mettre à l’honneur une plante cultivée depuis 7.000 ans en Bolivie et au Pérou : le quinoa. Cet organisme végétal rencontre en effet un succès en progression constante depuis quelques années, et pourrait grandement améliorer la sécurité alimentaire mondiale. Le lancement officiel de l’Année internationale du quinoa a lieu ce 20 février au siège new-yorkais de l’Onu en présence de son secrétaire général Ban Ki-moon, du président bolivien Evo Morales et de la première dame du Pérou Nadine Heredia.

    Les graines d’or des Andes, le surnom donné aux graines du quinoa, sont souvent présentées comme une alternative au riz, au blé et au maïs en raison de leurs très bonnes qualités nutritives. Elles sont en effet riches en protéines, en minéraux essentiels, en oméga-3, en antioxydants et en vitamines. Leur composition en acides aminés est également équilibrée. En outre, elles ne contiennent pas de gluten, un point important pour les personnes souffrant de la maladie cœliaque. Les graines peuvent être consommées en l’état ou sous forme de farine ou de flocons. Le fait est moins connu, mais les feuilles du quinoa sont également comestibles.

    Cette plante scientifiquement nommée Chenopodium quinoa est originaire d’Amérique du Sud et peut être qualifiée de « pseudocéréale ». En effet, elle n’appartient pas à la famille des graminées (ou poacées) comme le riz ou le blé, mais bien au groupe des chénopodiacées (tels les betteraves ou les épinards). Le quinoa est cultivable à de nombreuses latitudes et sous des climats variés grâce à la grande diversité génétique qui caractérise cette espèce (plus de 3.000 écotypes ont été recensés). Elle impressionne aussi par la grande productivité qu'elle affiche dans des milieux semi-arides et froids, par exemple sur les hauts plateaux de l’Altiplano dans la cordillère des Andes où elle est observable jusqu’à 4.200 m d’altitude. Les sols peuvent pourtant y être pauvres et l’eau peut manquer durant des semaines.

    Les vertus du quinoa sont mises à l’honneur en 2013

    Le quinoa contient 16 à 18 % de protéines. Il se cuisine aussi bien au salé qu’au sucré.

    Le quinoa, une solution contre la faim dans le monde ?

    Cette plante est traditionnellement cultivée par les peuples quechua et aymara des hauts plateaux andins, ainsi que par les populations du littoral chilien. Ils apprécient probablement le fait que le quinoa ne demande pas de traitement particulier. Selon l’IRD, sa rusticité permettrait même aux producteurs de s’absenter jusqu’à la récolte une fois les terres labourées et ensemencées. La plante est par ailleurs capable de s’autoréguler en fonction des conditions climatiques rencontrées. Ainsi, elle interrompt la croissance de ses tiges en cas de sécheresse pour favoriser le développement des racines et la recherche d’eau. Un retour à la normale est observé lorsque la disponibilité en eau est retrouvée.

    La Bolivie produit environ 48.500 t de quinoa par an sur 95.000 ha de terre. Près de 70 % des récoltes sont ensuite expédiées vers l’Europe et les États-Unis. Les exportations péruviennes traduisent bien le succès rencontré par cette plante ces dernières années, puisqu’elles ont augmenté de 143 % entre 2008 et 2012. Le montant des exportations est ainsi passé de 2,5 à 25,9 millions de dollars en cinq ans, ce qui a grandement amélioré l'économie péruvienne. De nombreuses expérimentations sont actuellement menées pour développer la culture de Chenopodium quinoa en Europe, en Asie, en Afrique et en Australie.

    L’Année internationale du quinoa vise donc à promouvoir les vertus nutritives et les caractéristiques importantes de cette plante, ainsi que son utilisation potentielle pour lutter contre la faim et la malnutrition touchant de nombreuses populations dans le monde. Les peuples indigènes des Andes qui la cultivent depuis des millénaires et les avantages économiques qu’elle procure aux pays qui l’exploitent sont par là même mis à l’honneur.


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  •  

    Les ingrédients pour un litre de nettoyant : 
      -1 litre d'eau,
      -2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude,
      -2 cuillères à soupe de vinaigre blanc,
      -1 cuillère à soupe d'huile essentielle (au maximum ): l'arbre à thé désinfecte, l'eucalyptus est un désinfectant et un bon nettoyant, la lavande parfume .....

    La recette : dans un bidon d'un litre,

      -verser le bicarbonate, le vinaigre blanc et des huiles essentielles.

      -Ajoutez un litre d'eau chaude pour la dissolution.

      -Et mélangez.


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  •   Les ingrédients pour un litre de dépoussiérant :

      -un litre d'eau,

      -une noisette de savon noir,

      -5 gouttes d'huile essentielle d'eucalyptus ou de pamplemousse.

    La recette :

      -diluez le savon dans un litre d'eau

      -versez le mélange dans un flacon avec vaporisateur.

      -Pour finir diluez quelques gouttes d'huile essentielle.


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  •   Ingrédients pour faire soi-même la lessive bio au savon de Marseille

    • Le véritable savon de Marseille est composé de 72 % d'huile végétale et d'huile de soude. C'est un savon naturel, totalement biodégradable et économique. Dur avec les taches et doux avec la peau, le savon de Marseille se trouve, sous forme de pains ou de paillettes, en grandes surfaces, dans les maisons de bricolage et dans les magasins de produits naturels.
    • Dégraissant et adoucissant naturel, les cristaux de soude  sont obtenus à partir de gisements de natron, ou à partir de sel et de craie. On les trouve en grandes surfaces.
    • Dégraissant, détachant, désodorisant et adoucissant, le bicarbonate de sodium  est l'élément incontournable de la lessive en poudre.
    • Le savon noir est un mélange de cendres de bois, d'eau et de corps gras. Doré comme le miel et peu coûteux, c'est un détachant hors pair.
    • Le vinaigre blanc ajouté en fin de préparation vous procurera une lessive 2 en 1 : lavante et adoucissante.
    • Les huiles essentielles (HE) donnent à la lessive un parfum naturel et personnel. HE de citron, d'orange, de lavande... parfument le linge agréablement. Toutefois pour qu'elles conservent leurs pouvoirs olfactifs, il est préférable de ne pas les utiliser lors de programmes dépassant 40°.

    Recette de la lessive liquide au savon de Marseille

       Faites dissoudre dans 5 l d'eau,

      -1 tasse (contenance 250 ml) de copeaux de savon de Marseille,

      -1 tasse de cristaux de soude et

      -2 cuillères à soupe de savon noir.

      Faites chauffer doucement tout en mélangeant, ajoutez

      -1 tasse de vinaigre blanc.

     Lorsque la lessive a tiédi,

      -incorporez si vous le désirez une trentaine de gouttes d'huile essentielle.

     Mettez en bouteille.

      Secouez le mélange avant chaque emploi.

      Commencez par utiliser une boule de lavage remplie à moitié de lessive, c'est l'expérience qui vous dira la juste dose à utiliser.

      Cette lessive est efficace à toute température.

      1 tasse= 25 centilitres (ou 1/4 de litre)


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  •   Les ingrédients pour un litre de liquide vaisselle :

      -1 savon de Marseille (le véritable savon de Marseille),

      -30 cl d'eau,

      -1 cuillère à café de bicarbonate de soude,

      -1 cuillère à soupe de cristaux de soude,

      -1 cuillère à soupe de vinaigre blanc,

      -quelques gouttes d'huile essentielle (citron ou thym…).

    La recette :

      -Plongez le savon de Marseille dans 30 cl d'eau (maximum) bouillante. 

      -Une fois qu'il est totalement dissous, ajoutez-y le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc et les cristaux de soude.

      -Mettez cette préparation dans un récipient adapté et pour finir, versez une dizaine de gouttes d'huiles essentielles.

      -Agitez le tout.

      Publié par Femme Actuelle


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